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cours du 24/11/11

Présents: 19
Thème: Buki-waza > le Jo
Déroulement: JO: quelque suburi «  gedan gaeshi » (frappe tibias) seul puis en vis à vis d’un partenaire. Accent a été mis tout au long de la soirée sur la gestion du temps, du timing. Ainsi que la recherche de l’efficacité du coup grâce au décalage entre le mouvement du corps et celui du bâton afin de provoquer un mouvement de fouetté, une onde de choc dans le corps d’Uke.
Les hanches lancent puissamment, voire violemment l’impulsion. Le « coup de fouet » du Jo arrive d’autant plus fort qu’il est légèrement en retard des hanches. Ce sont les hanches qui propulsent les bras et donc le bâton. Tout comme les coups de poings à la Boxe. (Le boxeur va également rechercher la secousse, la vibration plutôt qu’un coup appuyé). L’accroche au sol des pieds par de fermes appuis est nécessaire. On va s’aider du contact au sol pour chercher comme une vrille de tout son corps qui aura l’extrémité du Jo comme point final le plus puissant.
De son coté Tori, celui qui reçoit le coup sur la jambe, retarde l’envie, le besoin de retirer sa jambe.
De manière à laisser croire à Uke qu’il va aboutir sur sa cible et également pour casser les rythmes. Il ne faut surtout pas tomber dans un travail mécanique en miroir. Tori doit prendre des risques et retarder le retrait de sa jambe afin de mieux attirer Uke à faire la faute de frapper.
Puis, révision du kata des 14 sur plusieurs rythmes, puis très vite, enfin, tous en cercle face au centre.
CONSEIL: lorsqu’on se sent en retard par rapport au rythme des autres, attendre la prochaine phase pour rattraper le groupe afin d’éviter le « grand moment de solitude »,
>>>« the show must go one » surtout s’il s’agit d’une démonstration. Mais il en est de même lors d’un passage de grade. Pas de « blanc », ni d’arrêt sur image.
La seconde heure: Jo-dori: Uke munit du Jo frappe tsuki. > Tori exécute Sokumen-irimi-nage.
Il devra mettre l’accent sur son engagement puissant en pénétrant franchement dans la sphère d’Uke, (en le traversant au delà même de son coup de bâton) afin d’atteindre le centre. Le bras de revers doit être dirigé latéralement vers le visage d’Uke et non perpendiculairement en barrage sur ses épaules ou dans la gorge. Ceci serait propice à une résistance et un refus de chuter de sa part. De son coté, Uke ne s’accroche pas inutilement à son Jo (il n’est pas tel « ma sorcière bien aimée assise sur son balai magique ». De même, menacé au visage, il ne lève pas la tête au plafond et reste vigilant tout en chutant. C’est bien plus la détermination et la posture engagée de Tori que du coup et encore moins l’ éventuelle pression du revers de bras qui va inciter Uke à sa chute arrière.
Comme on dit souvent à l’ AKDN : « lorsqu’on fait mal ou on force son partenaire, proportionnellement à notre médiocrité ».
Petite démo avec les Hakamas de Taninzu gake à 4. Les techniques sont limitées mais parfois, il y a de brusque « mini-sokumen » ayant plutôt l’aire d’un revers de gifle. Les Uke doivent chuter au quart de tour pour éviter d’être touchés. Ce sont plus des réflexes de survies face à la main-sabre plutôt que de réflexes conditionnés pour une éventuelle chorégraphie.

RAPPEL des futures dates importantes:

>> Vendredi 02/12  >Téléthon
Dimanche 04/12 > AG + soirée du club
Dimanche 11/12 > Stage du club
Semaine du 12/12 > Passages de grades

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