-Présents: 24
-Thème: Les divers déplacements, marches, esquives. Puis Kote gaeshi
-Déroulement; Le but étant de construire Shomen uchi/Kote gaeshi, tout comme une recette de cuisine, on va d’abord s’approprier les ingrédients et maîtriser les ustensiles. 1°) Le marches; Ayumi ashi (une jambe devant l’autre), Tsugi ashi (toujours le même pied devant). Les pas sont glissés, « surfés ». Les pieds ne se décollent pas. Le tatami étant « l’ami » du pratiquant, point de nid de poule, de bosses, ni d’ obstacle, le sol est plan. Donc point besoin de regarder par terre ni de lever les pieds. Puis esquives/déplacement.
2°) Les déplacements: Taï sabaki qui va se construire au moyen d’ Irimi, Tenkan et Henka. 3°) la chute arrière Ushiro Ukemi.
PAUSE
Découverte de Kote gaeshi. C’est un geste qu’on se procure soi même à l’échauffement. Se rappeler que la première main qui saisi est la plus importante par rapport à la seconde qui coiffe. On se rappellera que tout au long de notre pratique, Tori devra travailler sur son propre corps en intervenant sur le coprs d’ Uke qu’au minimum. C’est le fil rouge de la saison AKDN…
Conseil et consigne général pour l’ensemble de la pratique et quelque soit la technique et le niveau: Le rôle d’Uke est ultra important. Il doit être impliqué sans cesse et engagé sans cesse. On le considère un peu comme le fournisseur d’NRJ face à l’électricien (TORI). Un autre image : pour comprendre les rôles: serait la force de l’eau, un torrent, un fleuve (Uke) et le plombier (Tori) le canalisateur. Tori ne doit pas perturber le flux (le Ki) mais le conduire et l’utiliser en toute bienveillance…
Cours gradés;
Même chose toutefois, des détails sont mis en valeur: le placement de la main paume contre paume. La présentation bien engagée, impliquée face au partenaire. Eviter les sautillements et les gestes parasites. Puis différentes possibilités de Kote gaeshi sur Shomen uchi.
