-Présents ; 14
-Thème : Ken, puis Ikyo, irimi nage et exercice général
-Déroulement ; Ken-Suburi Kessa giri. Puis exercice de sortie de ken avec lancement de jambe opposée (idée de 2 adversaires à 180°. Suivi de coupe gyaku kessa puis kessa giri.
Passage mains nues mais Tori garde son ken : Ikkyo omoté sur Haïhammi katate dori ; Uke ne dérouille pas sa saisie, lorsque Tori pivote de 180°, il le suit à la même vitesse afin de rester toujours en vis à vis. Ne pas « prêter le flanc ».
Tori doit casser le rythme sur le 2e temps. C’est là qu il est le plus vulnérable : juste à la sortie du sabre. Tori accélère à la sortie du sabre donc afin qu’on ne lui bloque pas le bras.
Aprés observations, Tori se fait assez souvent verrouiller le bras, s’en suit alors un jeu de bras de fer stérile. Tori ne doit pas se faire piéger. Son atout est le coté incisif et ultra dangereux du sabre. On ne va pas faire de la musculation pour pratiquer l’ Aïkido.
Philosophiquement, on ne cherche pas à rivaliser mais à « atteindre l’ âme » du partenaire. Oseseï disait « kokoro no kokoro » de cœur à cœur. Tout au moins, chercher à contrôle l’axe, le centre d’ Uke.
Il est conseillé de « jouer » avec les nerfs d’ Uke. Ne pas être prévisible. Jouer doit être pris dans tous les sens du terme. Casser les rythmes, les directions, changer de bras, différer…
Puis, exercice de préparation au passage de grade : Tori exécute sur ordre les 10 techniques de suite, exigées sur Haïhammi katate dori. Puis Sur toutes attaques et toutes positions. Terminaison de la soirée sur Suwari waza/Ryote dori/Kokyu ho.
Motivation générale pour examen mais aussi pour la progression vers la qualité en Aïkido. Savoir replacer son degré de motivation et d’implication en Aïkido. Savoir relativiser parfois, se « secouer » d’autres fois. Intégrer qu’il doit y avoir une grosse partie « bachotage » scolaire afin d’intégrer tous les termes.